Roman chorale inclassable, Terres Promises revisite le far west avec une poésie noire. L'écriture précise invoque une sensorialité puissante mais sublime surtout les quêtes existentielles partagées par ces voix oubliées, reliées par le même territoire qui modèle les histoires. 

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Synopsis: A l'ouest il y a Eleanor, prostituée, qui attend l’heure de se faire justice ; Kinta, l’indigène qui s’émancipe de sa tribu ; Morgan, l’orpailleur fou défendant sa concession au péril de sa vie. On croise des colons, des exilés, le Déserteur, le Bonimenteur, des âmes en proie au désespoir parfois, à la recherche de liberté souvent, prises dans le mouvement de la ruée vers l'or. 

Le livre que je n'ai pas écrit fait rire autant qu'il fait réfléchir. Avec une écriture fine, il fait écho aux quêtes de sens contemporaines d'une génération qui oscille entre frivolité salutaire et cynisme mondain. Sous ses abords légers, cette comédie très philosophique parle d'espoir et du soi face au grand tout du monde qui nous dépasse.     

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Synopsis: Gaïa, journaliste de mode, en a marre de ce marasme ambiant et de ces questions géopolitiques assommantes. Pour en sortir, elle se lance dans un projet de création de roman "drôle sans faire d'humour,  léger sans être gai", mais pas si facile de s'affranchir des injonctions familiales, de la superficialité de la mode, des affres de l'amour, ni même du cynisme ambiant.